A la Conférence de l’Information (0337-5)
- allemand
- 1948-04-23
- Dauer: 00:01:06
Beschreibung
Communiqué :
Une exposition au Palais des Nations à Genève montre d’étonnants appareils d’un type nouveau pour la transmission sans fil de reproductions « fac-similé ».
Commentaire :
Le Président Romulo et le Secrétaire adjoint Cohen, inaugurent, au Palais des Nations à Genève une exposition des appareils les plus récents pour la transmission électrique des informations. Voici entre autres des machines qui reproduisent, sans fil, des documents et même des journaux entiers à de très grandes distances. / Un appel autographe de Benjamin Cohen, posé sur un ruban transporteur, est entraîné à l’intérieur de la machine d’émission où l’image est transformée en impulsions électriques. / Celles-ci, transmises par ondes, sont transformées, dans la machine réceptrice, en impulsions lumineuses et enregistrées sur pellicule. Quelques secondes après que M. Cohen eût rédigé son écrit, on aurait pu voir à New-York ou à Tokio, l’image de l’autographe qui, ici, à titre de simple démonstration et de façon imparfaite, est projetée sur la paroi de la salle d’exposition. /
Communiqué_0337.pdf
Une exposition au Palais des Nations à Genève montre d’étonnants appareils d’un type nouveau pour la transmission sans fil de reproductions « fac-similé ».
Commentaire :
Le Président Romulo et le Secrétaire adjoint Cohen, inaugurent, au Palais des Nations à Genève une exposition des appareils les plus récents pour la transmission électrique des informations. Voici entre autres des machines qui reproduisent, sans fil, des documents et même des journaux entiers à de très grandes distances. / Un appel autographe de Benjamin Cohen, posé sur un ruban transporteur, est entraîné à l’intérieur de la machine d’émission où l’image est transformée en impulsions électriques. / Celles-ci, transmises par ondes, sont transformées, dans la machine réceptrice, en impulsions lumineuses et enregistrées sur pellicule. Quelques secondes après que M. Cohen eût rédigé son écrit, on aurait pu voir à New-York ou à Tokio, l’image de l’autographe qui, ici, à titre de simple démonstration et de façon imparfaite, est projetée sur la paroi de la salle d’exposition. /
Communiqué_0337.pdf
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