La peinture “en régie” (1346-2)
- français
- 1969-01-31
- Dauer: 00:01:14
Beschreibung
Communiqué :
Un artiste d’outre-Sarine, Marc Kuhn, a pris l’initiative d’une nouvelle formule d’art collectif. Sous sa direction, plusieurs peintres contribuent à la création d’un seul et même tableau, chacun s’exprimant à sa manière tout en tenant compte de son voisin. Douze de ces peintures “en régie” sont exposées pour la première fois dans les locaux de la “Katakombe” de Bâle.
Commentaire :
A Bâle, la Catacombe, en fait, une galerie d’art sert de lieu à une expérience picturale. / En effet quelques jeunes peintres ont décidé de se livrer à l’exécution d’une œuvre collective. / Conjointement ou alternativement, chacun donne sa contribution à l’ouvrage dont la composition a été discutée auparavant. / Marc Kuhn, le directeur de l’œuvre, il en faut un, estime qu’il faut laisser à chacun son propre style et sa personnalité, ce qui donne à l’ouvrage une plus grande dimension. / Les auteurs ne cherchent pas à se mesurer ou au contraire à adapter leur vision personnelle du monde à celle de leurs collègues. / En définitive, ce que doit voir le spectateur, ce n’est pas tant un compartimentage hétéroclite dû aux talents divers qu’une universalité composite. /
Communiqué_1346.pdf
Un artiste d’outre-Sarine, Marc Kuhn, a pris l’initiative d’une nouvelle formule d’art collectif. Sous sa direction, plusieurs peintres contribuent à la création d’un seul et même tableau, chacun s’exprimant à sa manière tout en tenant compte de son voisin. Douze de ces peintures “en régie” sont exposées pour la première fois dans les locaux de la “Katakombe” de Bâle.
Commentaire :
A Bâle, la Catacombe, en fait, une galerie d’art sert de lieu à une expérience picturale. / En effet quelques jeunes peintres ont décidé de se livrer à l’exécution d’une œuvre collective. / Conjointement ou alternativement, chacun donne sa contribution à l’ouvrage dont la composition a été discutée auparavant. / Marc Kuhn, le directeur de l’œuvre, il en faut un, estime qu’il faut laisser à chacun son propre style et sa personnalité, ce qui donne à l’ouvrage une plus grande dimension. / Les auteurs ne cherchent pas à se mesurer ou au contraire à adapter leur vision personnelle du monde à celle de leurs collègues. / En définitive, ce que doit voir le spectateur, ce n’est pas tant un compartimentage hétéroclite dû aux talents divers qu’une universalité composite. /
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