Zäuerli
- musique
- 1927/1951
- Dauer: 01:56
Beschreibung
47. Zäuerli
En 1942, Paul Budry de Radio Lausanne enregistra à Wasserauen (Rhodes extérieures) un Zäuerli, c'est-à-dire un chant d'hommes à plusieurs voix, tel qu'il continue à être improvisé jusqu'à aujourd'hui dans le pays d'Appenzell à l'occasion de manifestations folkloriques et de la montée à l'alpage, ou encore dans des auberges pour le plaisir des interprètes. Pour exécuter ce Naturjodel sans paroles, un solo de jodel est accompagné d'un genre de bourdon appelé Gradhäbä. A cet accompagnement vocal s'ajoute souvent un bourdon instrumental réalisé par trois hommes exécutant la « ronde de l'écu », ou encore par un jeu de trois toupins tyroliens. Dans ce dernier cas appelé Schälleschötte, deux hommes se mettent face à face, dont l'un porte deux toupins attachés à une courroie sur l'avant-bras tandis que le second exécute avec un seul toupin un mouvement de va-et-vient selon un certain rythme. Pour plus d'informations sur les toupins et, en particulier, sur le Schälleschötte, voir Max Peter Baumann, Musikfolklore und Musikfolklorismus. Eine ethnomusikologische Untersuchung zum Funktionswandel des Jodels, Winterthour, 1976 ; voir également Brigitte Geiser, « Schellen und Glocken in Tierhaltung, Volksbrauch und Volksmusik der Schweiz », in : Studia instrumentorum musicae popularis, V, Stockholm, 1977.
En 1942, Paul Budry de Radio Lausanne enregistra à Wasserauen (Rhodes extérieures) un Zäuerli, c'est-à-dire un chant d'hommes à plusieurs voix, tel qu'il continue à être improvisé jusqu'à aujourd'hui dans le pays d'Appenzell à l'occasion de manifestations folkloriques et de la montée à l'alpage, ou encore dans des auberges pour le plaisir des interprètes. Pour exécuter ce Naturjodel sans paroles, un solo de jodel est accompagné d'un genre de bourdon appelé Gradhäbä. A cet accompagnement vocal s'ajoute souvent un bourdon instrumental réalisé par trois hommes exécutant la « ronde de l'écu », ou encore par un jeu de trois toupins tyroliens. Dans ce dernier cas appelé Schälleschötte, deux hommes se mettent face à face, dont l'un porte deux toupins attachés à une courroie sur l'avant-bras tandis que le second exécute avec un seul toupin un mouvement de va-et-vient selon un certain rythme. Pour plus d'informations sur les toupins et, en particulier, sur le Schälleschötte, voir Max Peter Baumann, Musikfolklore und Musikfolklorismus. Eine ethnomusikologische Untersuchung zum Funktionswandel des Jodels, Winterthour, 1976 ; voir également Brigitte Geiser, « Schellen und Glocken in Tierhaltung, Volksbrauch und Volksmusik der Schweiz », in : Studia instrumentorum musicae popularis, V, Stockholm, 1977.
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