Liliane Bergier (Infirmière et enseignante)

  • français
  • 1998-04-30
  • Durée: 00:50:25

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Description

D'emblée, elle vise une formation en soins infirmiers, ayant pris conscience que, dans ce domaine, il y a pénurie de gens motivés et bien formés. Après son baccalauréat latin-grec à Lausanne, elle met à profit l'année qui la sépare de l'entrée à l'Ecole d'infirmières de la Source pour faire un complément d'études scientifiques: zoologie, physique. Puis sa carrière se déroule sans heurts: trois ans d'études, stages, retour à la Source pour un enseignement pratique; dix ans plus tard, elle prend le premier poste d'enseignante à l'Ecole supérieure d'enseignement infirmier, établissement dont elle deviendra la directrice en 1974. Ce "Plans-Fixes" offre le bilan d'une vie bien remplie, dressé avec une parfaite sérénité.

00:00:00 – 00:00:11 (Séquence 0) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Liliane Bergier, infirmière et enseignante, et tourné à Lausanne le 30 avril 1998. L'interlocutrice est Brigitte Mantilleri.
00:00:11 – 00:01:10 (Séquence 1) : L'interlocutrice et Liliane Bergier consultent un album de photographies. Celle-ci présente diverses images de sa famille et des milieux estudiantin et professionnel dans lesquels elle a évolué. Elle montre également des clichés de ses parents et de ses deux frères dans le jardin de la maison d'Aubonne. D’autres photographies succèdent aux précédentes : l'auditoire de l'école de la Source où elle a étudié en 1943 et a enseigné en 1952, un cortège d'élèves infirmières défilant à l'occasion de l'anniversaire de l'école et, en dernier lieu, la première volée d’étudiantes qu’elle a eues sous son aile à l'Ecole romande d'infirmières de la Croix-Rouge suisse à Chailly. Elle mentionne encore la présence dans cette école de quatre religieuses catholiques de différents ordres et deux diaconesses.
00:01:11 – 00:01:20 (Séquence 2) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Liliane Bergier, infirmière et enseignante, et tourné à Lausanne le 30 avril 1998. L'interlocutrice est Brigitte Mantilleri.
00:01:21 – 00:02:19 (Séquence 3) : L'entretien de Liliane Bergier se déroule dans le salon de sa maison qu'elle partage avec une amie s’appelant Jeanne, infirmière de profession. Liliane Bergier est à la retraite depuis 14 ans. Sa famille faisait partie également du milieu médical. Son père était médecin à la campagne. Elle évoque une anecdote à l'origine de sa vocation d'infirmière : entre l'âge de sept et dix ans, lorsque ses frères jouaient avec des soldats de plomb, elle avait l’habitude de faire circuler une ambulance miniature parmi les figurines.
00:02:20 – 00:03:46 (Séquence 4) : Liliane Bergier et ses frères accompagnaient souvent leur père dans sa tournée médicale. Il exerçait la médecine générale à l'Hôpital d'Aubonne. Ils n'étaient que deux spécialistes à desservir les villages alentour. La mère de Liliane Bergier apportait, quant à elle, son soutien moral à son mari. Elle s'occupait de la maison et tenait la comptabilité. Elle était assistée en outre de deux employées domestiques dont l’une s’occupait de la réception et l'autre des enfants.
00:03:48 – 00:04:25 (Séquence 5) : Liliane Bergier précise qu’il arrivait que les médecins de famille de l'époque pussent être payés en nature, quand les patients ne disposaient pas de moyen de rémunération. Elle se souvient qu'un jour son père reçut un agneau en guise de paiement qui fit plus tard office de repas pour la famille.
00:04:28 – 00:05:26 (Séquence 6) : Liliane Bergier est née à Aubonne, chef-lieu du district. La famille habitait le haut de la ville qui était encore campagnard : en témoignent par exemple le fumier brûlant dans la rue, des vignerons et des vaches qui allaient paître dans les prés. Le bas de la commune était plus citadin. Elle se souvient que sa famille descendait en ville acheter les commissions. Par ailleurs, Liliane Bergier a quitté Aubonne à l’âge de 20 ans pour entrer à l'école de la Source. Ses parents, quant à eux, sont restés dans cette ville jusqu'à leur décès. Elle rentrait quasiment tous les week-ends chez les siens.
00:05:29 – 00:06:23 (Séquence 7) : Durant son enfance, Liliane Bergier s'est engagée dans le scoutisme. Elle accordait une grande importance à cette activité que ses frères pratiquaient également à Aubonne. Comme il n'y avait pas encore de groupe d'éclaireuses dans cette ville, elle a suivi ses quatre ans de scoutisme à Morges. Par mauvais temps, elle s'y rendait en transport public, en revanche elle utilisait son vélo lorsque la météo était clémente.
00:06:26 – 00:08:38 (Séquence 8) : En 1939, année de ses 16 ans, entre la fin des cours du collège mixte d'Aubonne à Pâques et le début du gymnase en septembre, Liliane Bergier a effectué un échange linguistique avec une jeune fille allemande. Elle se souvient d’avoir ressenti de la méfiance pendant son séjour en Allemagne. En effet, la désinformation pratiquée à l’égard de la population était flagrante. Liliane Bergier a suivi pendant deux mois des cours avec sa camarade d'échange à la "Mädschen Hochschule" où selon elle, l'enseignement de l'Histoire y était complètement déformé.
00:08:41 – 00:09:17 (Séquence 9) : Liliane Bergier a suivi le gymnase et a obtenu son baccalauréat. L'interlocutrice souligne qu’il n'était pas courant pour une fille de poursuivre ses études. Liliane Bergier précise qu'à l’entame de sa formation gymnasiale, elle nourrissait déjà l'idée de devenir infirmière. Avant de commencer les cours, elle souhaitait effectuer un séjour linguistique pendant l'été en Angleterre, similaire à celui de 1939 en Allemagne, mais ce projet avorta. Liliane Bergier s'inscrit alors au gymnase en section latin et anglais sous les recommandations d'un de ses professeurs.
00:09:21 – 00:10:50 (Séquence 10) : Entre le moment de l’obtention de son baccalauréat à Lausanne et celui de son entrée à l'Ecole d'infirmières de la Source qui n'acceptait pas les jeunes femmes âgées de moins 20 ans, Liliane Bergier a effectué un complément d'études scientifiques en acquérant des connaissances liées à la zoologie et à la physique, ainsi qu’en suivant des cours sur la bactériologie, l’hygiène et la parasitologie. Ces diverses disciplines, dont les sciences constituaient son point fort, lui permettaient d'obtenir un certificat. Sous les recommandations de son frère qui apprenait la médecine, elle suivit les cours de zoologie du Professeur Matthey.
00:10:54 – 00:13:59 (Séquence 11) : La formation de Liliane Bergier s'est déroulée sans problèmes : trois années d'études jalonnées de stages à l'Hôpital Nestlé, à l'Hôpital cantonal de Lausanne, à l'Hôpital de Lavaux et à la Clinique de pédiatrie de Genève. Après ses stages, Liliane Bergier a engrangé de l'expérience en salle d'opération à Genève. Entre la fin de son expérience en salle d'opération à Genève et son retour à la Source, Liliane Bergier se rend pendant six mois en Angleterre, dans un hôpital de Londres. Elle y soigne des patients souffrant de diverses maladies. A son retour à l’Ecole d’infirmières, elle est admise en salle d'opération. Elle devient ensuite monitrice et a l'occasion d'aller se former en sciences et en pédagogie à Edimbourg. Pendant sa carrière, Liliane Bergier a assumé de nombreuses et diverses activités : enseignement, conférences et supervisions de stages à Genève, Lausanne et Neuchâtel.
00:14:04 – 00:14:50 (Séquence 12) : En 1962, Liliane Bergier fut sollicitée pour occuper le premier poste d'enseignante à l'Ecole supérieure d'enseignement infirmier. Cet emploi lui donnait l'occasion d'améliorer l'enseignement, de changer son mode de vie, de quitter après dix ans l'internat et de s'installer dans son propre appartement.
00:14:55 – 00:16:30 (Séquence 13) : Liliane Bergier est invitée à évoquer les raisons pour lesquelles elle a choisi en 1943 de se former en soins infirmiers plutôt qu'en médecine. Elle raconte qu’elle a d’abord hésité entre ces deux voies après son baccalauréat. Pendant sa jeunesse, elle ne voyait pas souvent son père, à cause de sa profession de médecin. Quant à son frère, il était plongé dans ses études médicales. Finalement, elle pense qu'elle n'avait pas le tempérament pour embrasser ce métier. Son père l'a aidée à faire son choix : il considérait qu'elle devait se diriger dans le domaine où elle se sentirait la plus utile. Elle a choisi le milieu infirmier qu’elle n’a ensuite jamais regretté.
00:16:36 – 00:18:09 (Séquence 14) : Liliane Bergier se souvient d'avoir été surprise par le niveau général de l'enseignement. Les cours étaient surtout donnés par des médecins qui résumaient leurs savoirs pour les mettre au niveau de la moyenne des apprenantes. Les infirmières-cheffes enseignaient les matières pratiques. Dès le premier jour, les étudiantes étaient confrontées à des situations réelles et encadrées par leurs aînées qui avaient fini leur stage. En plus de leurs journées remplies était imposée aux élèves de première année la tâche de se charger du ménage, car il n'y avait pas de femmes de chambre à l'internat.
00:18:16 – 00:19:35 (Séquence 15) : Liliane Bergier est invitée à parler des débuts de ses études générant d’éventuelles angoisses. Elle évoque le premier jour du deuxième mois à la Source où elle a été appelée à assister à son premier accouchement dans le service de maternité. Après avoir reçu des explications, elle se rappelle être restée seule avec la parturiente et avoir été prise de panique.
00:19:42 – 00:20:44 (Séquence 16) : Liliane Bergier raconte que pendant son stage dans le service de médecine de l'Hôpital Nestlé de Lausanne, très peu d'infirmières diplômées y travaillaient. Les stagiaires étaient rapidement plongées dans la pratique de terrain. Elle a le souvenir d'avoir éprouvé de l'angoisse, lorsqu'elle a dû surveiller en même temps deux salles éloignées l'une de l'autre, à savoir la pièce des personnes en isolement (les soins intensifs), et la salle des gens cardiaques. Les infirmières étaient rapidement amenées à prendre des initiatives auxquelles elles n'étaient pas préparées.
00:20:52 – 00:22:34 (Séquence 17) : Après sa formation, Liliane Bergier a embrassé une carrière de professeure. Elle n'avait jamais pensé enseigner, car elle était davantage attirée par le domaine des soins. Malgré tout, en constatant les lacunes de l'enseignement qui touchaient ce milieu, elle a accepté le poste qu'on lui a offert. L'objectif de son cours visait à assurer la continuité des soins à prodiguer aux patients, même en cas de changement de personnel. Elle souligne en outre un point important selon lequel son identité d’infirmière est toujours présente en elle, même si elle n'approche plus concrètement les malades.
00:22:43 – 00:25:10 (Séquence 18) : Parallèlement à l'encadrement des élèves, Liliane Bergier a prononcé de nombreuses conférences dans divers endroits et destinées à un public varié. Elle ajoute qu’il y avait une pénurie d'infirmières, sans compter l’image négative attachée à cette profession, considérée comme rude, mal payée et dangereuse. Elle corrobore cette idée en révélant que, lorsqu'elle a commencé sa formation en 1943, les élèves suivaient des cours un dimanche par semaine et un après-midi par mois, ce qui représentait plus de 72 heures de travail hebdomadaires. Elle évoque en outre le souvenir d'une amie décédée après avoir été infectée par la tuberculose. Pour Liliane Bergier, le métier devait changer d'image par le biais d’une mise en valeur des progrès de la médecine et des soins réalisés après la guerre. Au niveau administratif, un contrat type de travail a été élaboré en vue de faire diminuer progressivement le nombre d'heures de travail.
00:25:19 – 00:28:16 (Séquence 19) : Quand Liliane Bergier occupait la fonction d’enseignante, la formation durait trois ans, mais le contenu des cours évolua. Au début du cursus, les étudiantes étaient tout de suite immergées dans la pratique et suivaient quelques cours donnés par des médecins qui refusaient d'entrer dans les détails de la matière. Elles effectuaient ensuite deux années de stages ne comportant aucun cours théorique et terminaient la formation au moyen de quelques révisions.
00:28:25 – 00:29:24 (Séquence 20) : Lors du départ de Liliane Bergier de la Source pour l'Ecole supérieure d'enseignement infirmier, l'instruction de cette discipline connut un tournant : les leçons étaient davantage données par des infirmières que par des médecins. L'enseignement des soins infirmiers s'est beaucoup développé au détriment des cours médicaux.
00:29:34 – 00:30:45 (Séquence 21) : Durant sa carrière, Liliane Bergier a cherché à pallier les lacunes de la formation des infirmières. Elle enseignait les soins infirmiers à l'école de cadres à partir de 1962 et pendant douze ans. Pour répondre au développement de la physiologie et aux besoins de connaissance en chimie organique, Liliane Bergier a aussi ouvert un cours de chimie.
00:30:56 – 00:32:44 (Séquence 22) : Pour son enseignement, Liliane Bergier s'est inspirée de la littérature anglo-saxonne et a repris des éléments de sa formation suivie à Edimbourg où les cours offraient déjà tout un bagage de connaissances relatives aux sciences naturelles et médicales. Elle a cherché à tisser des liens entre ces branches et les soins infirmiers. L’essor de ces derniers et la construction de nouveaux hôpitaux ont généré l’apparition de nombreux métiers paramédicaux, créant ainsi une nouvelle répartition de tâches entre les infirmières, les aides-hospitalières et les femmes de ménage.
00:32:55 – 00:34:42 (Séquence 23) : Liliane Bergier explique qu'à partir de 1960, elle a été témoin de la création du métier d'infirmière-assistante. Les infirmières ont davantage été amenées à réaliser des actes médicaux délégués par les médecins et à effectuer des transcriptions et de la planification. De plus, dans les revues professionnelles américaines et françaises, des articles relevaient le dysfonctionnement des services, prônaient la prise de conscience du rôle de chacun dans le travail en équipe et la nécessité du développement de la planification.
00:34:54 – 00:36:15 (Séquence 24) : Liliane Bergier parle des divers changements dans le domaine des soins tels que l'adoption du carnet de transmission et d'une certaine terminologie. Les processus d’aide au patient ont également évolué : fixation d'objectifs et décision des moyens, évaluation du résultat et correction. Les années 1975-1978 ont été marquées de manière significative par l'apport des Américaines dans la conception des soins.
00:36:28 – 00:37:49 (Séquence 25) : Liliane Bergier précise qu'une forte résistance au changement s’est manifestée, en particulier de la part des médecins, en ce qui concerne certaines tâches relevant exclusivement de leur compétence. Ainsi, les infirmières ont commencé à réaliser l’anamnèse ou encore des actes autonomes tels que la nourriture, la position dans le lit, la toilette, les premiers pas et l'utilisation de la canne. Il a été difficile d'expliquer aux médecins qu'on souhaitait seulement former des infirmières très compétentes qui ne figurent pas des demi-médecins.
00:38:02 – 00:39:22 (Séquence 26) : A l'école de cadre où elle enseignait, Liliane Bergier a rapidement utilisé la vidéo comme support pédagogique. Elle analysait avec les étudiants les sujets traités dans les colloques qu'elle avait pu filmer. Liliane Bergier précise qu'aux Etats-Unis, le principe du travail en équipe n'était pas encore mis en pratique, même si les revues américaines en parlaient depuis longtemps.
00:39:36 – 00:41:08 (Séquence 27) : En 1969, Liliane Bergier s'est rendue à un congrès à Montréal. Elle a profité de son voyage en Amérique du Nord pour visiter plusieurs hôpitaux et assister à la pratique du travail en équipe. Elle s’est alors rendue compte que la réalité n'entrait pas en adéquation avec les écrits sur les thèmes du travail en équipe et de la planification. Elle a ressenti une certaine réticence des professionnels face aux changements, ce qu'elle a vécu aussi lors de la mise en place de divers projets.
00:41:22 – 00:43:07 (Séquence 28) : Liliane Bergier retrace ses expériences extraprofessionnelles, comme son engagement dans l'Association Suisse des Infirmiers (ASI). Dès 1955, elle était membre du Comité central en tant que déléguée de l'association des employés de la Source. En 1961, les statuts de l'ASI ont changé. Entre 1966 et 1970, elle a pris la présidence de la section Vaud-Valais, puis celle de l'association suisse jusqu'en 1974. Elle est devenue ensuite directrice de l'Ecole supérieure d'enseignement infirmier.
00:43:22 – 00:44:35 (Séquence 29) : Liliane Bergier évoque ses convictions politiques, comme son militantisme pour le droit de vote des femmes. Elle précise que dans sa famille, les hommes étaient favorables à la votation sur le suffrage féminin de 1959. Liliane Bergier a été sollicitée à s'investir dans une commission de préparation des élections. Son nom a ensuite figuré sur une liste électorale qui l’a propulsée, avec quinze autres femmes, au Conseil communal de Lausanne en 1961. Elle a honoré cet engagement jusqu'en 1972.
00:44:50 – 00:45:54 (Séquence 30) : Liliane Bergier précise qu'elle n'était pas préparée à la prise de parole. Lors de ses engagements politiques, elle a surtout défendu les domaines qu'elle connaissait (comme la formation des ambulanciers). Elle explique qu'elle a présidé par deux fois une commission dont elle maîtrisait peu les sujets abordés, comme les deux suivants : la réfection de la façade de l'Hôtel-de-Ville et l'introduction d'un règlement pour les cabinets pour chiens.
00:46:10 – 00:47:04 (Séquence 31) : Depuis 1984, Liliane Bergier est à la retraite. Elle est invitée à établir un bref bilan sur sa carrière. Elle n'imaginait pas l’accomplir de cette manière, car à l’origine, elle envisageait de prodiguer des soins pendant quelques années puis de suivre une école d'hygiène sociale. Elle pense avoir été systématiquement sollicitée par des personnes extérieures qui l’ont amenée à œuvrer dans tous les domaines professionnels qu’elle a évoqués durant l’entretien.
00:47:21 – 00:48:21 (Séquence 32) : Liliane Bergier est invitée à parler de ses occupations depuis qu'elle est à la retraite. Elle habite depuis 22 ans avec une amie qui a perdu son mari au moment où elle a pris la direction de l'Ecole supérieure d'enseignement infirmier. Elles se sont réparti les tâches ménagères et jardinières. Par exemple, Liliane Bergier plante des fleurs tandis que son amie Jeanne s'occupe des légumes.
00:48:38 – 00:49:16 (Séquence 33) : Au cours de sa carrière professionnelle, Liliane Bergier a eu l'occasion d'effectuer de nombreux déplacements pour les congrès de l'association ainsi que des voyages d'études. Depuis qu'elle est à la retraite, elle réalise chaque année un voyage. Elle devait se rendre en Afrique, mais à cause de problèmes de santé elle a dû repousser ce projet.
00:49:34 – 00:50:07 (Séquence 34) : Générique de fin du Plans-Fixes consacré à Liliane Bergier, infirmière et enseignante, et tourné à Lausanne le 30 avril 1998.
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