La dernière assemblée de la S.D.N. (0276-3)
- allemand
- 1946-04-19
- Durée: 00:03:15
Description
Communiqué :
La dernière assemblée de la S.D.N.
Commentaire :
Le Palais de la S.D.N. à Genève en avril 1946 ! En automne 1939, la vingtième assemblée de la S.D.N. a dû être ajournée pour la durée d’une guerre cruelle. Maintenant des délégués du monde entier viennent au Parlement des Nations pour procéder à sa dissolution. Un animateur lucide de la collaboration internationale Monsieur Carton de Wiart, délégué de la Belgique. Les délégués de la Grande-Bretagne. Le Présidait Hambro, Norvège. Un des pères spirituels du Pacte : Lord Cecil, Grande-Bretagne et le représentant de la France, Monsieur Paul Boncour, brillant avocat de l’idée de la Société des Nations. L’assemblée va commencer : une généreuse expérience pour l’union des peuples se termine. Le Président Hambro annonce la reprise des débats de la 20ème assemblée. Depuis l’ajournement, dit Monsieur Hambro, l’ordre mondial est tombé en poussière. Il se relève avec peine des ruines et du désastre. Ce n’est pas le pacte qui a échoué, proclame avec une fraîcheur admirable, le vénérable Lord Cecil. Les gouvernements ont failli à leur tâche, nous devons recommencer. La Ligue est morte, vive les Nations Unies ! En Paul Boncour, l’idée de la Sécurité Collective a un défenseur éloquent : il prouve avec clarté que la Société des Nations n’était pas condamnée à échouer et n’a pas toujours échoué. L’O.N.U., dit Monsieur Paul Boncour, aura un besoin urgent de nos expériences. Puis Monsieur Petitpierre fait entendre la voix de la Suisse.
Communiqué_0276.pdf
La dernière assemblée de la S.D.N.
Commentaire :
Le Palais de la S.D.N. à Genève en avril 1946 ! En automne 1939, la vingtième assemblée de la S.D.N. a dû être ajournée pour la durée d’une guerre cruelle. Maintenant des délégués du monde entier viennent au Parlement des Nations pour procéder à sa dissolution. Un animateur lucide de la collaboration internationale Monsieur Carton de Wiart, délégué de la Belgique. Les délégués de la Grande-Bretagne. Le Présidait Hambro, Norvège. Un des pères spirituels du Pacte : Lord Cecil, Grande-Bretagne et le représentant de la France, Monsieur Paul Boncour, brillant avocat de l’idée de la Société des Nations. L’assemblée va commencer : une généreuse expérience pour l’union des peuples se termine. Le Président Hambro annonce la reprise des débats de la 20ème assemblée. Depuis l’ajournement, dit Monsieur Hambro, l’ordre mondial est tombé en poussière. Il se relève avec peine des ruines et du désastre. Ce n’est pas le pacte qui a échoué, proclame avec une fraîcheur admirable, le vénérable Lord Cecil. Les gouvernements ont failli à leur tâche, nous devons recommencer. La Ligue est morte, vive les Nations Unies ! En Paul Boncour, l’idée de la Sécurité Collective a un défenseur éloquent : il prouve avec clarté que la Société des Nations n’était pas condamnée à échouer et n’a pas toujours échoué. L’O.N.U., dit Monsieur Paul Boncour, aura un besoin urgent de nos expériences. Puis Monsieur Petitpierre fait entendre la voix de la Suisse.
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