Le VIIIe Festival International du Film à Locarno (0631-2)
- français
- 1954-07-09
- Durée: 00:01:14
Description
Communiqué :
[Communiqué manquant]
Commentaire :
Le 8me Festival du Film de Locarno ne reçoit pas que des spécialistes du 7me art, mais aussi du premier : le peintre Carigiet, auteur de l’affiche. / A vol de téléphérique, au-dessus de la baie, Folco Lulli boit le salaire du labeur. / Ailleurs ce sont les invités allemands, ici Winnie Markus, qui subissent l’interview d’un reporter terriblement bavard. / D’outre-manche, deux stars qui ne sont plus des oies blanches : elles ont tourné avec Douglas Fairbanks ! / Dans le grand théâtre de verdure du Festival, pour le moment, le soleil de midi est seul installé. / Mais à la cabine, on s’affaire déjà pour les projections. / Et le soir, la lampe à arc de 100 ampères flamboie et précipite son jet de lumière sur l’écran géant où l’intensité en est mesurée avec un soin méticuleux. / Voyageur solitaire, l’un des grands de l’écran arrive par la route du Gothard : Michel Simon en personne, que le télégraphiste et notre opérateur étaient seuls à attendre à cette heure tardive. / Déjà la foule se presse au théâtre de verdure, où les étoiles du film vont briller du feu 7 fois plus vif que celles, lointaines et minuscules, de la voûte céleste. /
Communiqué_0631.pdf
[Communiqué manquant]
Commentaire :
Le 8me Festival du Film de Locarno ne reçoit pas que des spécialistes du 7me art, mais aussi du premier : le peintre Carigiet, auteur de l’affiche. / A vol de téléphérique, au-dessus de la baie, Folco Lulli boit le salaire du labeur. / Ailleurs ce sont les invités allemands, ici Winnie Markus, qui subissent l’interview d’un reporter terriblement bavard. / D’outre-manche, deux stars qui ne sont plus des oies blanches : elles ont tourné avec Douglas Fairbanks ! / Dans le grand théâtre de verdure du Festival, pour le moment, le soleil de midi est seul installé. / Mais à la cabine, on s’affaire déjà pour les projections. / Et le soir, la lampe à arc de 100 ampères flamboie et précipite son jet de lumière sur l’écran géant où l’intensité en est mesurée avec un soin méticuleux. / Voyageur solitaire, l’un des grands de l’écran arrive par la route du Gothard : Michel Simon en personne, que le télégraphiste et notre opérateur étaient seuls à attendre à cette heure tardive. / Déjà la foule se presse au théâtre de verdure, où les étoiles du film vont briller du feu 7 fois plus vif que celles, lointaines et minuscules, de la voûte céleste. /
Communiqué_0631.pdf
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