En visite officielle à Berne (1499-1)
- français
- 1972-03-10
- Durée: 00:01:06
Description
Communiqué :
M. Kurt Waldheim, le nouveau secrétaire général des Nations-Unies, voit dans l’établissement de contacts personnels une possibilité d’augmenter l’efficacité de l’ONU. Il a été reçu à Berne par MM. Celio et Graber, conseillers fédéraux.
Commentaire :
C’est à la résidence de Watteville à Berne que le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies a été invité à rencontrer les membres du Conseil fédéral. A Genève, Monsieur Kurt Waldheim avait assisté à la reprise de la conférence sur le désarmement. Le nouveau secrétaire général désire, grâce à ses contacts personnels, donner une seconde vie à l’ONU. / A Berne, donc, Mr. Waldheim a rencontré le Président de la Confédération et Monsieur Graber, notre ministre des Affaires étrangères. A cette occasion il a exprimé l’espoir de voir un jour les petits Etats neutres faire à leur tour leur entrée à l’ONU, car les grandes puissances, hélas, sont toujours impliquées dans des conflits, armés ou non. Mr. Waldheim ne croit pas à une faillite de l’ONU, il veillera lui-même, a-t-il dit, à ce que l’Organisation retrouve son maximum d’efficacité. /
Communiqué_1499.pdf
M. Kurt Waldheim, le nouveau secrétaire général des Nations-Unies, voit dans l’établissement de contacts personnels une possibilité d’augmenter l’efficacité de l’ONU. Il a été reçu à Berne par MM. Celio et Graber, conseillers fédéraux.
Commentaire :
C’est à la résidence de Watteville à Berne que le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies a été invité à rencontrer les membres du Conseil fédéral. A Genève, Monsieur Kurt Waldheim avait assisté à la reprise de la conférence sur le désarmement. Le nouveau secrétaire général désire, grâce à ses contacts personnels, donner une seconde vie à l’ONU. / A Berne, donc, Mr. Waldheim a rencontré le Président de la Confédération et Monsieur Graber, notre ministre des Affaires étrangères. A cette occasion il a exprimé l’espoir de voir un jour les petits Etats neutres faire à leur tour leur entrée à l’ONU, car les grandes puissances, hélas, sont toujours impliquées dans des conflits, armés ou non. Mr. Waldheim ne croit pas à une faillite de l’ONU, il veillera lui-même, a-t-il dit, à ce que l’Organisation retrouve son maximum d’efficacité. /
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