L’affaire MacLean (0590-3)

Communiqué :
Après la disparation de la femme du diplomate anglais MacLean : la police genevoise au travail. Notre opérateur sur les traces de Madame MacLean à Genève et à Lausanne.

Commentaire :
C’est à Genève, à deux pas du lac, 7, rue des Alpes, que Madame MacLean, épouse du diplomate anglais disparu depuis deux ans, s’était retirée avec ses trois enfants et sa mère, Mme Dunbar. Soudain, toute l’affaire rebondit. Le 11 septembre, à la faveur du week-end, comme son mari, Mme MacLean disparaît à son tour. Sans laisser de traces ? / Non pas, la police, sous la conduite du Maigret genevois Charles Knecht, bien qu’avisée cinq jours plus tard, fait bonne moisson d’indices. / Elle retrouve le manuscrit du mystérieux télégramme de Territet à Mme Dunbar. L’expertise graphologique relève que Mme MacLean n’a pas rempli elle-même la formule. / Partie par la route pour Lausanne, elle y a laissé sa voiture dans un garage… “pour une semaine”. / Dans la voiture, tout le lest abandonné à Lausanne : Un siège d’enfant, / des cartes routières, des papiers de douane, de pauvres jouets. / Du garage, elle se rend avec ses enfants à la gare où elle prend le train de Zurich, et de là celui de Buchs, avant de se perdre dans cet inconnu dont le monde libre ne connaîtra jamais le secret. /

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